mercredi 7 novembre 2007

Prix Renaudot 2007

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Daniel Pennac, cet auteur de littérature jeunesse et adulte, s'est enfin vu decerner un prix, le Prix Renaudot. Pennac, je l'ai découvert dans les "Je bouquine" avec la série des Kamo. Et je l'ai toujours suivi, d'un peu trop loin, certes. Mais je suis contente que son talent ait été récompensé !
Bon, j'avoue, je ne l'ai pas  encore lu. Mais celui-là, promis, je le lirai !



Daniel Pennac a reçu lundi 5 novembre 2007 le prix Renaudot pour Chagrin d'école (Gallimard). Daniel Pennac  ne figurait pas parmi les sélections. Son "Chagrin d'école" a recueilli 6 voix, contre 5 (la voix du président du jury comptant double) à Christophe Donner, donné favori, qui avait été pour sa part sélectionné pour "Un roi sans lendemain" (Grasset).
(c)  Prix-littéraires.net



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Chagrin d'école,
Daniel Pennac,
Ed. Gallimard, 2007




L'avis de la Fnac :
« Donc, j’étais un mauvais élève. Chaque soir de mon enfance, je rentrais à la maison poursuivi par l’école. Mes carnets disaient la réprobation de mes maîtres. Quand je n’étais pas le dernier de ma classe, c’est que j’en étais l’avant-dernier. (Champagne !) Fermé à l’arithmétique d’abord, aux mathématiques ensuite, profondément dysorthographique, rétif à la mémorisation des dates et à la localisation des lieux géographiques, inapte à l’apprentissage des langues étrangères, réputé paresseux (leçons non apprises, travail non fait), je rapportais à la maison des résultats pitoyables que ne rachetaient ni la musique, ni le sport, ni d’ailleurs aucune activité parascolaire. » Dans la lignée de Comme un roman, Chagrin d’école est donc un livre qui concerne l’école. Non pas l’école qui change dans la société qui change, mais, « au cœur de cet incessant bouleversement, sur ce qui ne change pas, justement, sur une permanence dont je n’entends jamais parler : la douleur partagée du cancre, des parents et des professeurs, l’interaction de ces chagrins d’école ». Daniel Pennac entremêle ainsi souvenirs autobiographiques et réflexions sur la pédagogie et les dysfonctionnements de l’institution scolaire, sur la douleur d’être cancre et la soif d’apprendre, sur le sentiment d’exclusion et l’amour de l’enseignement. Entre humour et tendresse, analyse critique et formules allant droit au but, il offre ici une brillante et savoureuse leçon d’intelligence. Ce Chagrin d’école s’impose déjà comme un livre indispensable.

Avis des lecteurs:

  1. Ce livre a l'air vraiment bien. J'ai eu l'occasion d'entendre Pennac en parler sur France Inter. Il a raconté une anecdote à propos d'un sujet de rédaction qu'il avait donné à des élèves quand il enseignait le français et on retrouve un sujet proche dans un des Kamo donné par un professeur à ses élèves. Son expérience personnelle est présente dans beaucoup de ses oeuvres.

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  2. J'ai lu tous ses livres (ou presque), c'est vraiment un auteur que j'aime ! Il faut absolument que je le lise !! Mais pas le temps en ce moment, ça ira mieux quand je ferai des déplacements seule !

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